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Charline Effah, ou ma réconciliation avec le roman gabonais

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[Sénégal] De purs hommes – Mohamed Mbougar Sarr

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[Nigéria] Children of Blood and Bone – Tomi Adeyemi

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[Mali] Malick SIDIBE

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[Jamaïque] Si le soleil se dérobe – Nicole Dennis-Benn

[Guinée] Le Cercle des Tropiques – Alioum Fantouré

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[Gabon] Ma mère se cachait pour pleurer – Peter Stephen Assaghle

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[Focus] Le Tsundoku, cette pathologie que j’ignorais

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[Focus] Cinq romances Africaines à lire

[Focus] Black Panther, dithyrambe de l’Afrique ou ultime propagande américaine?

[Focus] 26 ans, 26 livres

[Evènement] Retour sur le Salon du livre de Paris 2016

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[E-books] Mes lectures en version originale

[Côte d’Ivoire] Aya de Yopougon – Marguerite Abouet

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[Cameroun/Gabon] L’innocente – Chrystel Zohi Ngambeket

[Cameroun] Les Impatientes – Djaïli Amadou Amal

[Cameroun] Ceux qui sortent dans la nuit – Mutt Lon

[Burundi] Petit pays, par Gaël Faye

[Bons plans] Librairie Kamite et Panafricaine Tamery Sematawy

[Antigua] Mon Frère – Jamaïca Kincaid

(Focus) Ndouna Depenaud, poète gabonais

Bio

Izuwa

À propos de moi

Mboloani! Bonjour à tous!

Moi c'est Izuwa!

Izuwa, dans ma langue maternelle, l'Omyènè (langue du Gabon), signifie Joie de Vivre. Et ici, je vous transmettrai ma joie de vivre, et surtout ma Joie de Lire.

De Durban à Harlem, en passant par Bangui, Saint-Louis, et Moroni, des auteurs africains et afro-descendants se livrent, et nous livrent des oeuvres incontournables qui gagnent à être connues. C'est ce grand voyage, plein de découvertes, que je vous invite à faire avec moi.

Sur ce blog vous retrouverez donc deux grandes rubriques à savoir:

Des avis de lectures autour de l'Afrique, des Caraïbes, et Afro-descendants
Des articles dits "Focus" qui eux sont plus intimistes (intimes, parfois), et à travers lesquels je donne des coups de gueule, des coups de coeur et beaucoup, beaucoup, de joie de lire.

Merci d'être là, de me suivre, de me lire. Akéwani. Akpé. Asante.

Izuwa.

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Tata Chimamanda, merci pour les heures d’évasio

Tata Chimamanda, merci pour les heures d’évasion, les pages interminables, les cliffhangers, les papillons dans le ventre et les nuits blanches. Tu es l’autrice qui m’a définitivement réconciliée avec la littérature africaine, et ça, ça n’a pas de prix.

💆🏿‍♀️Americanah
☀️L’autre moitié du soleil ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
🌺L’Hibiscus Pourpre
🪞Autour de ton cou
🕯️Notes on grief
🫶🏿Zikora
💄Chère Ijeawele

Et toi, as-tu déjà lu Chimamanda Ngozi Adichie? Quel livre a été un coup de cœur?

#lettresnoires #chimamandangoziadichie #bookworm #foryou #bookstagram

Dust Child est un roman acheté un peu par hasard,

Dust Child est un roman acheté un peu par hasard, parce qu’il était vendu à moitié prix, et que j’ai apprécié le travail d’édition de @oneworldpublications . Je me suis très vite plongée dans ces pages dépaysantes, qui racontent avec beaucoup de délicatesse un drame familial et humain au Vietnam, entre 1969 et 2016.
▫️
Phong est un « child of the ennemy ». Il est métis aux cheveux frisés, né d’un père afro-américain ,militaire pendant la seconde guerre du Vietnam, et d’une mère vietnamienne. Au quotidien, il paye le prix fort de son métissage: enfant sans parent, il cherche sa place dans un pays détruit et pas tout à fait en reconstruction.

Dans le même temps, Dan, vétéran américain de la guerre du Vietnam et Linda son épouse atterrissent à Ho Chi Minh. Ancien pilote d’hélicoptère dans l’armée américaine, Dan cherche des réponses aux cauchemars et aux cris dans la nuit.

Quarante ans en arrière, on suit également le destin de Trang et Qhuyn, deux sœurs amenées à quitter les champs, les rizières et leur village natal pour trouver un travail et de meilleures opportunités à Saigon, la capitale.
▫️
On voltige inconsciemment entre deux époques et plusieurs personnages, qui s’imbriquent parfaitement entre eux. Nguyễn Phan Quế Mai nous mène avec brio et c’est au final, tout à la fin, qu’on comprend où elle voulait en venir.

C’est tout à la fin, que l’on se rend compte que « Dust Child » est un magnifique roman sur les secrets que l’on garde, et les illusions que l’on préserve🌸
▫️
J’espère que ce post vous aura donné envie de découvrir ce coup de cœur🤍, en anglais ou en français (titre FR: Là où fleurissent les cendres, aux @editionscharleston )☀️ Portez-vous bien 📖🙏🏿

#dustchild #lettresnoires #lettresetcie #vietnam #bookstagram #bookworm #booknerd #litterature

J’ai toujours un livre pas loin. Dans un sac, ou

J’ai toujours un livre pas loin. Dans un sac, ou dans un tiroir. Je les sème et les cueille au gré de mes envies, et c’est devenu une vieille habitude à la peau dure. I just take a book with me everywhere 🤍

Lecture en cours: Chroniques du pays des gens les plus heureux du monde, Wole Soyinka aux @editionsduseuil

#pov #foryou #booknerd #africanliterature #bookstagram #lettresnoires #booklover #bookish

🔔Nouvel article sur le blog🔔 #Extrait En al

🔔Nouvel article sur le blog🔔

#Extrait En allant à la quête de son passé, Minga se retrouvera à Bidibidi dans un petit camp de réfugiés, auprès de celles que sa mère a côtoyé pendant des années. Dans un quotidien marqué par la guerre, le dénuement, les lendemains incertains et les caprices du ciel, la jeune parisienne recueillera les témoignages et souvenirs de ces femmes qui ont connu le meilleur de sa mère. Ensemble, elles ont tenté d’échapper à la cruauté humaine et sont les survivantes de la barbarie la plus crasse.

Entre maltraitance et infanticide, entre abandon, absence et déchirements, les destins de ces femmes bouleversent et rappellent que bien loin des théories sur l’éducation existent des mères qui n’ont pas d’autres choix que de renoncer, fuir, abdiquer.
▫️
Charline Effah décrit dans ses romans des femmes et non des mères. Des femmes défaillantes, fatiguées, apeurées, amères, acariâtres parfois, des femmes qui n’en peuvent plus et qui en veulent plus.
▫️
Sur le blog je partage mon avis de lecture sur deux romans de l’écrivaine gabonaise 🇬🇦 Charline Effah: La danse de Pilar et Les femmes de Bidibidi. Le lien vers l’article est en bio 🔗.

#Gabon #litteratureafricaine #lettresnoires #emmanuellecollas #bidibidi #bookworm #bookstagram

#shortbooks Ma petite sélection de livres d’aut

#shortbooks Ma petite sélection de livres d’auteur(e)s afro-descendant(e)s, faisant moins de 150 pages!!📚

Je recommande ces livres pour:

- Celleux qui n’ont pas toujours le temps de lire⌚️
- Celleux qui veulent une œuvre qui se lit vite, le temps d’un trajet ou le temps d’un week-end🚅💺
- Celleux qui détestent commencer un livre et le terminer plusieurs jours (voire semaines) plus tard📖
- Celleux qui n’ont pas lu depuis longtemps, et qui aimeraient s’y remettre en douceur♻️🧘🏿‍♀️

Et toi, as-tu un livre court à me suggérer?

N’hésite pas à enregistrer ce réel pour y revenir plus tard🥰☀️!!
#africanbookstagram #bookworm #foryou

Patsy a une fille, Trudy, qu’elle a eu trop jeun

Patsy a une fille, Trudy, qu’elle a eu trop jeune, avec un homme qu’elle n’a jamais pu aimer. Dans la dure réalité de Pennyfield, quartier populaire de Kingston 🇯🇲, Patsy se cherche et ne se retrouve pas. Son travail, la proximité avec sa mère démissionnaire, la présence de sa fille… rien ne l’aide à s’épanouir. Tous ses espoirs d’avoir enfin un but, un idéal, une meilleure vie, une vie à elle, résident en l’obtention d’un visa touristique pour les Etats-Unis.

Ce visa touristique est sa garantie vers un nouveau départ, auprès de Cicely. Cicely la nébuleuse, l’insaisissable, son amie d’enfance, sa confidente et correspondante dont elle est restée secrètement amoureuse, et qui a émigré à New-York depuis plusieurs années.

Seulement, rejoindre Cicely, tenter de donner un sens à son existence, se fera au détriment de sa fille. Entre les Etats-Unis et Trudy, Patsy a choisi les Etats-Unis. Elle confie Trudy à son père que la petite fille alors âgée de cinq ans n’a jamais vu. Patsy confie sa fille à un père qui n’a jamais voulu d’elle, qui a une autre famille, d’autres enfants, une autre femme.
▫️
S’en suit un roman magnifiquement bien écrit, entre Patsy et Trudy, entre Brooklyn et Kingston, entre anglais et créole.
« Si le soleil se dérobe » de Nicole Dennis-Benn est un roman complexe, avec des personnages denses, nuancés, qui interrogent notre conception du genre, de la maternité, la parentalité, la sexualité et l’exil. J’ai publié mon retour de lecture sur le blog (lien en bio), j’espère qu’il te plaira autant que j’ai aimé l’écrire 📚.
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Merci à @esprit_vagabond_ de m’avoir fait découvrir ce roman et cette autrice dans le cadre du club de lecture en ligne qu’elle anime ✨✨✨
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#lettresnoires #lettresetcie #nicoledennisbenn #patsy #carribean #carribeanliterature #afrobookstagram #bookworms

Je suis fan d’Harry Potter depuis que j’ai 8/9

Je suis fan d’Harry Potter depuis que j’ai 8/9 ans (#Serdaigle à vie 💙🦅). Cette année, j’ai réalisé un de mes rêves de #Potterhead: visiter les studios de production Warner Bros de la saga à Londres.

C’était une expérience hors du temps incroyable. Un émerveillement du début à la fin, entre les décors, les costumes, les « behind the scene », tous d’origine. J’ai eu l’impression, le temps d’une journée, d’avoir enfin reçu ma lettre pour Poudlard 📮✨

Et toi, si tu étais à Poudlard, dans quelle maison penses-tu que le Choixpeau t’aurait envoyé?
#ravenclaw #harrypotter #harrypotterfan #wbtourlondon #warnerbros #potterhead

#BooksandBreakfast Obianuju est la seule fille d’une famille de quatre enfants. Pas facile d’être fille unique et la principale préoccupation de sa mère. Obianuju doit être une chrétienne modèle, une jeune fille exemplaire, et surtout, une femme à (bien) marier.

Elle a accepté depuis longtemps que poursuivre ses études est important, mais le mariage l’est encore plus. Le mariage est la seule réalisation qui l’aidera à enfin gagner l’approbation et le respect de sa mère. Alors quand son chemin croise celui de Chigozie, journaliste en devenir, chrétien pratiquant et d’ethnie Igbo comme sa famille… Uju succombe aux charmes des premiers jours et aux promesses venues trop tôt. Obianuju et Chigozie se disent oui pour le pire et pour la vie.

Leur union ne sera pas un long fleuve tranquille, entre maternité, emprisonnement, précarité, corruption, pression familiale et violences conjugales. À quel point Obianuju tiendra-t-elle à ce mariage? Jusqu’où ira t-elle dans la renonciation de ce qu’elle est pour satisfaire les attentes de sa mère? Quand réalisera-t-elle que ce n’est pas son statut matrimonial ou le nombre d’enfants qu’elle portera qui feront d’elle une FEMME aux yeux de la communauté à laquelle elle souhaite tant plaire?

Sur le blog ( #linkinbio), je vous livre mon avis de lecture sur « Tomorrow I become a woman », et deux autres ebooks lus récemment.
Spoiler Alert: ce roman d’Aiwanose Odafen a été un énorme coup de cœur pour moi ☀️
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#africanbookstagram #lettresnoires #lettresetcie #bookworm #nigeria #africanliterature @aiwanoseodafen

Petit récapitulatif des librairies que j’ai vis

Petit récapitulatif des librairies que j’ai visitées à Londres. Spoiler alert: j’ai gardé le meilleur pour la fin✨

N’hésite pas à enregistrer 🏷️ le réel afin de conserver ces adresses📍.

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